Lors des manifestations contre les élections référendaires et législatives, il y’avait eu plusieurs morts, mais certains communicants issus de la majorité présidentielle se réjouissaient de la mort de leurs compatriotes qui n’appartenaient pas au camp présidentielle.
Aujourd’hui la roue a tourné et personne ne doit se réjouir de la mort de quelqu’un parce-qu’il n’est pas du même camp que lui.
La parole s’en va mais l’écrit reste!
